L’idée derrière le Parco est de proposer des vélos à assistance électrique simples, légers, réparables, faciles à entretenir avec un prix serré malgré la fabrication en France.
Voitures, motos, scooters, trottinettes, et vélos électriques sont souvent conçus par leurs constructeurs pour offrir une grande diversité d’équipements et de services, au point que les tarifs les rendent parfois inabordables à ceux qui en ont besoin.
A l’inverse de ce courant du « toujours plus », Parco Cycles veut diffuser un modèle facile à vivre à tous les points de vue. Routier ? VTC ? Urbain ? Ne cherchez pas trop un classement pour ce vélo à assistance électrique à voir surtout comme un deux-roues polyvalents à la géométrie de gravel.
Le modèle actuellement commercialisé est équipé du cadre en aluminium de cinquième génération en taille unique pour des cyclistes mesurant de 1,60 à 1,90 mètres.
Il est réalisé avec des tubes fournis par le spécialiste italien Dedacciai et solidarisés par des manchons développés en interne en partenariat avec le groupe Citele et laissés dans la teinte du métal. Robuste, cette architecture atteint le niveau de la certification VTT.
Si le Parco ne pèse que 15 kg, c’est aussi parce que sa batterie a été dimensionnée pour satisfaire avant tout les besoins courants d’une journée. Avec sa capacité de 140 Wh, l’autonomie en ville est de 30 à 40 km, davantage en se passant de l’assistance quand c’est possible.
Pour un meilleur rayon d’action, dans le cas d’une sortie loisir par exemple, il est possible d’embarquer avec soi un pack supplémentaire. A noter qu’une prise USB-C permet de recharger un smartphone. Grâce au chargeur livré avec le VAE, la batterie se régénère en deux heures au maximum.
Logé dans le moyeu de la roue arrière (jante Mach1 ER20, pneu Michelin Protek 700C x 32, également à l’avant), le moteur Mivice M070 pilotable selon quatre modes développe un couple maximal de 35 Nm.
La simplicité se retrouve dans le choix des équipements adoptés (freins à disque mécaniques, absence de dérailleurs) pour permettre à l’utilisateur d’entretenir lui-même son Parco. Ainsi, c’est une chaîne Yaban monovitesse qui relie le plateau (manivelles de 170 mm) au pignon présentant respectivement 46 et 18 dents.
De série, le Parco reçoit des garde-boues, un éclairage intégré alimenté par la batterie et une selle réglable en hauteur (tige de 350 mm) Royal Shadow. Un catalogue d’accessoires permet de le personnaliser avec un porte-bagages à placer à l’arrière, une béquille, une gourde et sa fixation, un guidon à amortissement de chocs, une potence réglable, etc.
Contre 1 600 euros, il est possible de commander sur le site le vélo à assistance électrique dans l’une des quatre couleurs au choix : vert clair, jaune, bleu foncé et noir. A faire réaliser en boutique (Belfort, Strasbourg, Remiremont et Paris) ou en étant assisté par visio, le premier entretien est gratuit.
Toutefois l’idée de départ du jeune fondateur Jean Mougenot était que l’utilisateur soit autonome concernant la maintenance. C’est pourquoi des tutoriels sont accessibles depuis la chaîne Youtube du fabricant pour faciliter les opérations.
Les avis des premiers adoptants sont très encourageants. « Simplicité et efficacité caractérisent parfaitement ce vélo électrique urbain. La légèreté est un atout au quotidien pour se garer, monter les escaliers et, ce qui n’est pas négligeable, il peut être utilisé sans assistance !! J’adore ! », s’est enthousiasmée Anne.
De la même manière, Raphaël s’est réjoui : « Je possède un vélo Parco en location via le service Optymo, et je suis plus que satisfait. Depuis maintenant six mois je n’ai plus utilisé ma voiture pour me rendre à mon travail. Je n’avais pas fait de vélo depuis des années et maintenant je prends beaucoup de plaisir à pédaler (même sous la pluie) ».
« Un an après l’achat et avec plus de 1800 km à son actif, mon Parco se porte et me transporte toujours aussi bien. Un grand bravo à toute l’équipe, au top, autant dans la conception que dans l’accompagnement après la vente », a tenu à partager Fabien.
Avant de le commander, Pauline qui a pu tester un exemplaire de ce VAE pendant une semaine : « Après une longue recherche, j’ai enfin trouvé le vélo parfait avec Parco ! C’est exactement le compromis que je cherchais : efficace, confortable, simple et robuste. Que ce soit pour mes trajets quotidiens en ville, pour transporter des affaires ou pour des balades, il s’adapte à tout avec une grande fluidité ».
Le Parco de sixième génération se distingue des autres grâce au choix du cadre : haut à barre droite pour des cyclistes de 1,70 à 1,95 m, ou bas à barre inclinée pour ceux mesurant entre 1,50 et 1,75 m. Aux plus rapides à le commander, une option dérailleur à sept vitesses est proposée jusqu’à épuisement du stock constitué par le fabricant.
Avec cette nouvelle mouture, les freins à disque (Tektro) sont plus mordants, et deux configurations de selle sont proposées.
Ce nouveau modèle sera affiché à 1 990 euros lorsqu’il sera officiellement ajouté au catalogue. Toutefois, jusqu’au 31 août 2025, il est possible de le précommander au tarif préférentiel de 1 800 euros pour des livraisons dès septembre suivant.
Il faudra en revanche se contenter du vert clair. Dans les quelques jours qui restent avant que tombe cette offre, il est encore possible d’essayer ce VAE.
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